Gentleman.be sur Berkeley International, profession « Lovehunters » !

GENTLEMAN SUR LOVEHUNTER BERKELEY INTERNATIONAL [http://www.gentleman.be/fr/2648-berkeley-international-profession-lovehunters.html]Geneviève Heintz et Annemieke Dubois étaient chasseurs de têtes. Elles chassent aujourd’hui l’amour pour le compte de clients haut de gammes.Geneviève Heintz et Annemieke Dubois gèrent depuis trois ans Berkeley International, une agence de rencontres destinées aux hommes et femmes d’affaires. Un business florissant. « Bruxelles, de par son statut de capitale européenne, rassemble bon nombre de dirigeants, expliquent-elles. Un public souvent international et cosmopolite. »

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« Outsourcing » de l’amourLes personal matchmakers, comme elles se surnomment, se défendent de faire du business des sentiments. « C’est peut-être la perception que le public a de l’extérieur. Vu de l’intérieur, ce n’est pas du tout comme cela qu’on nous considère. » Leur métier, disent-elles, est le fruit de l’amour qu’elles portent aux gens et d’une conviction : tout le monde peut trouver l’âme sœur. Même si cela nécessite parfois un coup de pouce. « Nous sommes présentes pour les gens. Nous les écoutons, les aidons. La confiance est très importante. Après tout, ajoutent-elles, le coaching est devenu très répandu. Les hommes d’affaires ont des assistants personnels, des coaches sportifs, des conseillers personnels… » Alors pourquoi pas un outsourcing de l’amour ?

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Les tarifs adéquats seraient aussi un gage de bonnes intentions. Les intéressé(e)s, Annemieke Dubois et Geneviève Heintz les traquent autant qu’elles quêtent l’alchimie. Car il ne suffit pas de payer pour être accepté chez Berkeley. Après un entretien de présentation (lors duquel elles parlent valeurs, personnalité, hobbys, passions, ambitions, religion, et découvrir quelles sont les caractéristiques de la personne qu’ils souhaitent etc.), elles se réservent le droit de refuser un candidat. Plutôt qu’agence de rencontre, elles préfèrent l’expression «agence d’introduction».Elles étudient les profils et tentent de former le bon matching. A l’ancienne : c’est d’abord à l’homme que les candidates féminines sont présentées. C’est lui qui décide si les critères correspondent à ses attentes et s’il souhaite les voir en chair et en os autour d’un repas ou d’une autre activité. Les femmes ne semblent toutefois pas s’offusquer de ce mode de fonctionnement que d’aucuns pourraient qualifier de vieillot. Elles sont plus nombreuses que leurs homologues masculins à faire partie de la base de données de Berkeley (la proportion est de 60 % de femmes contre 40 % d’hommes). Un équilibre que les deux lovehunters espèrent pouvoir rétablir tout en augmentant globalement le nombre de membres. Berkeley International et son réseau de 12 agences dans le monde (Paris, Milan, Amsterdam ou encore Genève ont suivi Bruxelles) ambitionnent de compter dans leurs fichiers 10.000 adhérents aux cœurs esseulés.Berkeley InternationalAv Louise 3671050 Bruxelles0032 2 642 00 92www.berkeley-international.be [http://www.berkeley-international.be/]